Comment évaluer la vitesse de son site web ?
Une des consignes parfaitement claires de Google est l’optimisation de l’expérience utilisateur. Et un de ces facteurs, parmi tant d’autres, est la vitesse de chargement de notre site internet.
Aujourd’hui, on découvre comment évaluer la vitesse de son site web de façon concrète pour mieux pouvoir la modifier.
Mesurer la vitesse de son site.
Que l’on ait réalisé soi-même le site internet de son entreprise ou qu’on l’ait fait faire par un tiers, le fait est qu’il est difficile d’avoir une idée claire de sa réelle vitesse de chargement.
Lorsqu’on a compris les concepts de cache, de capacité de son PC (ou smartphone) et la vitesse du Wifi, on ne pense plus à chronométrer son écran. Ni à le faire faire à un ami.
Heureusement, il existe pour nous beaucoup de services nous permettant de répondre à cette interrogation. Et enfin connaitre la vitesse de chargement de son site web en environnement neutre, c’est-à-dire, tel que le perçoit Google.
Google nous en offre un avec son outil PageSpeed Insights.
Pas besoin de chercher bien longtemps donc : rendez-vous sur ce site, copiez-collez l’url de la page que vous souhaitez tester (exemple : https://www.monsite-pro.fr) et patientez quelques secondes que l’outil vous fournisse son rapport.

Pas besoin donc d’en référer à son webmaster pour connaitre la véritable vitesse de chargement de son site.
Notez que l’outil indique la vitesse en fonction de l’expérience Pc ou Smartphone. Et que même si de gros progrès ont été réalisés, paradoxalement, le script Analytics que Google conseille d’installer pour suivre ses conversions, a tendance a légèrement ralentir les performances du site.
Reste à optimiser les éléments suggérés :
Beaucoup d’éléments sont généralement à modifier dans le rapport généré, les sites internets étant bien souvent codés de façon complexe.
Reste à juger ou à échanger avec le réalisateur du site, la pertinence de modifier tel ou tel élément…
Mais d’une façon générale, sachez que la vitesse de chargement est couramment ralentie par la taille et la quantité des médias (les images principalement) et la quantité de scripts. Si vous utilisez WordPress par exemple, il existe de nombreux plugins pour les alléger ou pour convertir le bon format d’image.